Coupe de la CAF (demi-finale retour) Le TAS, seul recours des Usmistes

Le Tribunal arbitral sportif (TAS) de Lausanne sera le dernier recours et le seul espoir de l’USM Alger, après son refus de disputer la demi-finale retour de la Coupe de la Confédération africaine, tant que le RS Berkane porterait le maillot arborant la carte du Maroc annexant le Sahara occidental qu’il souhaitait revêtir lors du […]

Avr 30, 2024 - 18:10
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Coupe de la CAF (demi-finale retour)  Le TAS, seul recours des Usmistes

Le Tribunal arbitral sportif (TAS) de Lausanne sera le dernier recours et le seul espoir de l’USM Alger, après son refus de disputer la demi-finale retour de la Coupe de la Confédération africaine, tant que le RS Berkane porterait le maillot arborant la carte du Maroc annexant le Sahara occidental qu’il souhaitait revêtir lors du match aller.

Par Mahfoud M.

En effet, sachant que la CAF avait déjà sanctionné les Usmistes lors de la première manche même en étant présents sur le terrain, il ne faut s’attendre à rien car une fois encore elle se mettra du côté des Marocains qui se trouvent en porte-à-faux avec les règlements régissant l’éthique sportive. Pourtant, tout est clair, les lois de la FIFA et celles de la CAF mentionnent qu’il est interdit de porter des équipements avec des slogans politiques, ethniques et autres. Les Rouge et Noir n’ont rien à craindre, tant qu’ils sont dans leur droit. Une autre sanction de la Confédération africaine n’influera pas sur leur moral, puisqu’ils savent à qui ils ont affaire, et que le président de cette instance, le Sud-Africain Motsepé, est de connivence avec le président de la Fédération royale marocaine, Faouzi Lekdja, qui se croit tout permis. C’est une bataille juridique que l’USMA et l’Algérie devront mener pour remettre de l’ordre dans cette instance qui de tout temps a été contre notre pays, piétinant ses propres règlements et faisant fi du droit. La formation algéroise aura à présenter son dossier aux instances compétentes qui statueront définitivement sur cette affaire pour faire respecter les lois qui ne doivent pas être foulées aux pieds comme c’est le cas aujourd’hui. Ainsi, l’article 50 de la Charte olympique (alinéa 2) stipule : «Aucune sorte de démonstration ou de propagande politique, religieuse ou raciale n’est autorisée dans un lieu, site ou autre emplacement olympique».

M. M.

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