Poutine dénonce une "destruction totale de la population civile" dans la bande de Ghaza
MOSCOU - Le président russe, Vladimir Poutine, a dénoncé mercredi une "destruction totale de la population civile" dans la bande de Ghaza, soumise à une agression génocidaire sioniste depuis le mois d'octobre dernier. "Ce qui se passe actuellement à Ghaza ne ressemble pas du tout à une guerre. Il s'agit d'une espèce de destruction totale de la population civile", a affirmé le Président Poutine lors d'une rencontre avec des représentants d'agences de presse internationales, organisée en marge du Forum économique de Saint-Pétersbourg. Il a réitéré la position de la Russie en faveur de la solution à deux Etats, soulignant que Moscou avait reconnu l'Etat palestinien pendant l'ère soviétique. L'entité sioniste poursuit son agression génocidaire contre la bande de Ghaza depuis le 7 octobre 2023, en dépit d'une résolution du Conseil de sécurité de l'ONU exigeant un cessez-le-feu immédiat. L'agression sioniste dans ce territoire a fait plus de 36 000 martyrs, en grande majorité des femmes et des enfants, selon les autorités sanitaires.
MOSCOU - Le président russe, Vladimir Poutine, a dénoncé mercredi une "destruction totale de la population civile" dans la bande de Ghaza, soumise à une agression génocidaire sioniste depuis le mois d'octobre dernier.
"Ce qui se passe actuellement à Ghaza ne ressemble pas du tout à une guerre. Il s'agit d'une espèce de destruction totale de la population civile", a affirmé le Président Poutine lors d'une rencontre avec des représentants d'agences de presse internationales, organisée en marge du Forum économique de Saint-Pétersbourg.
Il a réitéré la position de la Russie en faveur de la solution à deux Etats, soulignant que Moscou avait reconnu l'Etat palestinien pendant l'ère soviétique.
L'entité sioniste poursuit son agression génocidaire contre la bande de Ghaza depuis le 7 octobre 2023, en dépit d'une résolution du Conseil de sécurité de l'ONU exigeant un cessez-le-feu immédiat.
L'agression sioniste dans ce territoire a fait plus de 36 000 martyrs, en grande majorité des femmes et des enfants, selon les autorités sanitaires.
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