El-Bayadh: la dépouille du Moudjahid Toumi Djelloul inhumée au cimetière de Sidi Cheikh
EL-BAYADH - La dépouille du Moudjahid Toumi Djelloul, décédé à l'âge de 97 ans des suites d'une maladie, a été inhumée au cimetière de Sidi Cheikh, dans la wilaya d'El-Bayadh, a-t-on appris, samedi, de la direction des Moudjahidine et Ayants-droits. Les obsèques du défunt ont eu lieu, hier vendredi après la prière du Dohr, en présence des membres de la famille révolutionnaire et des compagnons du défunt dans la lutte armée contre l'oppresseur français, outre un grand nombre de citoyens. Le défunt Moudjahid, né en 1927 dans la commune de Rogassa, a rejoint les rangs de l'Armée de libération nationale (ALN), en 1956 dans la katiba du Moudjahid défunt Laamari Mohamed et a participé à plusieurs batailles, à l'instar de celle de Boukarkour, dans la région voisine d'Aflou. Il fut parmi les Moudjahidine les plus recherchés par l'administration coloniale et a été arrêté et transféré dans des prisons à l'intérieur du pays, puis à l'étranger, et a été exposé à différentes formes de torture. Il fut condamné à mort puis relaxé après l'indépendance. Après l'indépendance, feu Toumi Djelloul a rejoint l'Armée nationale populaire (ANP) et participa à plusieurs étapes historiques, à l'instar des guerres arabes contre l'entité sioniste.
EL-BAYADH - La dépouille du Moudjahid Toumi Djelloul, décédé à l'âge de 97 ans des suites d'une maladie, a été inhumée au cimetière de Sidi Cheikh, dans la wilaya d'El-Bayadh, a-t-on appris, samedi, de la direction des Moudjahidine et Ayants-droits.
Les obsèques du défunt ont eu lieu, hier vendredi après la prière du Dohr, en présence des membres de la famille révolutionnaire et des compagnons du défunt dans la lutte armée contre l'oppresseur français, outre un grand nombre de citoyens.
Le défunt Moudjahid, né en 1927 dans la commune de Rogassa, a rejoint les rangs de l'Armée de libération nationale (ALN), en 1956 dans la katiba du Moudjahid défunt Laamari Mohamed et a participé à plusieurs batailles, à l'instar de celle de Boukarkour, dans la région voisine d'Aflou.
Il fut parmi les Moudjahidine les plus recherchés par l'administration coloniale et a été arrêté et transféré dans des prisons à l'intérieur du pays, puis à l'étranger, et a été exposé à différentes formes de torture.
Il fut condamné à mort puis relaxé après l'indépendance.
Après l'indépendance, feu Toumi Djelloul a rejoint l'Armée nationale populaire (ANP) et participa à plusieurs étapes historiques, à l'instar des guerres arabes contre l'entité sioniste.
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