Suite aux agressions sionistes contre le Liban: La résistance bombarde le QG du Mossad

Le ciel libanais est assombri, depuis le 23 septembre, par le fracas des bombardements israéliens, des attaques qui, en seulement deux jours, ont causé la mort de plus de 600 civils et blessé des milliers d’autres. Ces chiffres tragiques ne sont pas seulement des statistiques ; ils représentent la douleur, la peur et le désespoir d’une population prise au piège d’une agression qui semble sans fin. En riposte à ces attaques, la résistance libanaise a intensifié ses actions, bombardant notamment le quartier général du Mossad, signalant ainsi sa détermination à défendre la souveraineté libanaise.

Les bombardements intensifs sont aveugles et indiscriminés, laissant peu de répit aux Libanais. Face à cette épreuve, de nombreux citoyens n’ont d’autre choix que de fuir leur pays, espérant échapper à une mort certaine. Dans un contraste glaçant, ce drame se déroule sous le silence troublant et complice de la communauté internationale, notamment des États-Unis, qui continuent de fournir des armements et des munitions à l’armée israélienne.

Des milliers de Libanais empruntent désormais les routes menant à l’exil. Les voix qui s’élèvent à Beyrouth, la capitale, résonnent d’une terreur palpable tandis que, dans d’autres régions, spécialement à Baalbek, des familles hâtent leur fuite vers la Syrie, située à quelques dizaines de kilomètres de là. Les images partagées sur les réseaux sociaux montrent des bouchons interminables menant vers Beyrouth. Les véhicules, chargés à craquer d’effets personnels, témoignent de l’urgence de la situation. En un éclair, des vies construites sur des années sont réduites à l’essentiel, des souvenirs, quelques vêtements, et l’espoir de trouver refuge.

Dans cette période d’errance, les Libanais, marqués par des années d’agressions précédentes, font preuve d’une solidarité remarquable. Les municipalités ouvrent les portes de leurs écoles, de leurs dispensaires, de leurs mosquées et églises pour accueillir les déplacés. Les habitants, qu’ils soient des voisins connus ou des inconnus, s’organisent pour fournir une aide alimentaire et médicale indispensable.
Les différentes organisations politiques s’unissent, mettant de côté leurs divergences pour concentrer leurs efforts sur l’assistance aux sinistrés.

Des milliers de libanais convergent vers la Syrie
Pour de nombreux Libanais, la Syrie devient un havre de paix malgré le tumulte qui règne de l’autre côté de la frontière. Ce n’est pas la première fois que les Libanais se tournent vers leur voisin ; lors du conflit de 2006 entre le la résistance libanaise et l’armée sioniste, de nombreuses familles avaient déjà trouvé refuge en Syrie. Aujourd’hui, la situation se répète.

Des milliers de Libanais traversent les postes-frontières de Qusayr et de Dabousieh, trouvant refuge dans les provinces syriennes de Damas et de Homs. Ces régions, proches de la frontière libanaise, s’engagent à accueillir ces réfugiés. Le gouverneur de la campagne de Damas a visité ces zones, s’assurant que les conditions d’accueil soient optimales. Le Croissant-Rouge syrien a également intensifié ses efforts pour fournir l’aide nécessaire, révélant une solidarité régionale qui transcende les frontières.

Homs, symbole de la résilience, prépare des centres pouvant accueillir plus de 40.000 personnes, un geste qui montre que même en temps de crise, l’espoir est intact. La ville, longtemps meurtrie par les conflits, est désormais un refuge pour ceux qui fuient la mort.

Le drame libanais ne peut rester dans l’ombre. Les bombardements israéliens créent une souffrance inimaginable pour des millions de personnes. La communauté internationale, au lieu de détourner le regard, doit agir avec détermination pour mettre un terme à cette violence.

La résistance libanaise  bombarde le quartier général du Mossad à Tel-Aviv

En dépit de la puissance aérienne israélienne, des bombardements dévastateurs et d’un soutien occidental indéfectible, la résistance libanaise, menée par la résistance libanaise, s’est montrée résiliente et déterminée dans sa réponse à l’agression sioniste.

Ce mercredi, plus de 400 obus et missiles ont été tirés en direction de l’entité sioniste, soulignant la capacité militaire opérationnelle des mouvements de la résistance, malgré les intensifications des frappes israéliennes. Parmi les actions revendiquées, une frappe stratégique a visé le quartier général du Mossad, situé à proximité de Tel-Aviv. Cette frappe, effectuée avec un missile balistique de type Qader-1, a été une déclaration de force du mouvement libanais, qui a souligné la vulnérabilité des infrastructures israéliennes face à ses opérations.

The post Suite aux agressions sionistes contre le Liban: La résistance bombarde le QG du Mossad appeared first on Le Jeune Indépendant.